"La planète
bleue"
L’air devenait
irrespirable
Une odeur de mort
suffocante (la pisse était la plus forte)
on se montait dessus
essayant d’inspirer
quelques molécules
d’oxygènes quitte a étouffer son voisin,
ou ceux dont on prenait
appuis pour s’extirper du charnier
cela n’avait l’avantage que
de prolonger le supplice.
là ou notre passé
pourrissait, gisait notre futur.
Peu se soutenaient à
plusieurs,
les plus téméraires, la
peur fait oublier l’autre.
Pourtant tous regardaient
au loin,
guettant la moindre lueur
mettant fin à l’indicible…
C’était donc ici l’enfer!
Isaa
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