Plénitude
La chair douce. Tiède. Déborde des vêtements. Mes seins lourds.
Caresser du bout des doigts. Chercher les limites.
Glisser vers le ventre. Fourrager au creux des plis.
Entre mes cuisses, si peu d’espace. Tant de chaleur.
Et la peau tendue à l’extrême sur mes hanches.
Mon cul, superbement vaste, la raie profonde.
Ceci serait mon corps. J’explorerais chaque parcelle de son divin paysage.
Je serais grosse. Je serais belle.
J’allumerais la gourmandise dans le regard des hommes.
On me remarquerait, enfin !
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