Ces nuits rassurantes…
J’entends le tramway qui passe…
Sous ma couette doublée pour l’hiver…
Je m’enfonce dans l’infini de la nuit…
Le chat pousse la porte…
Faisant entrer la douce lumière…
Collant sa chaleur à la mienne…
La porte se referme délicatement…
L’obscurité revient frôler mon corps…
Enseveli de sommeil…
Le rêve prend sa place…
La rêverie m’envahit…
Rendant tous les espoirs possibles…
Au son de ces voix étrangères…
JULIA CHAPELET
J’entends le tramway qui passe…
Sous ma couette doublée pour l’hiver…
Je m’enfonce dans l’infini de la nuit…
Le chat pousse la porte…
Faisant entrer la douce lumière…
Collant sa chaleur à la mienne…
La porte se referme délicatement…
L’obscurité revient frôler mon corps…
Enseveli de sommeil…
Le rêve prend sa place…
La rêverie m’envahit…
Rendant tous les espoirs possibles…
Au son de ces voix étrangères…
JULIA CHAPELET
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